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Si vous vous reconnaissez dans la description ci-dessus, sachez que tous ces symptômes ont été regroupés sous une appellation scientifique : le syndrome prémenstruel.
Qu’est-ce que c’est ? D’où vient-il ? Comment le traiter ? L’atténuer ? Tentons de mieux comprendre en détails ce qu’il vous arrive et de vous donner des solutions pour mieux vivre cette période.
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Si vous vous reconnaissez dans la description ci-dessus, sachez que tous ces symptômes ont été regroupés sous une appellation scientifique : le syndrome prémenstruel.
Qu’est-ce que c’est ? D’où vient-il ? Comment le traiter ? L’atténuer ? Tentons de mieux comprendre en détails ce qu’il vous arrive et de vous donner des solutions pour mieux vivre cette période.
Qu’est-ce que le syndrome prémenstruel ?
Le syndrome prémenstruel, ou SPM, désigne un ensemble de symptômes somatiques, affectifs et comportementaux qui se manifeste quelques jours avant les règles et disparait avec l’arrivée du saignement menstruel. Lorsque ces troubles sont sévères, ils peuvent entraver les activités quotidiennes et altérer la qualité de vie.
La spécificité de ce syndrome tient à sa cyclicité, et à son intensité suffisamment sévère pour altérer significativement le fonctionnement personnel, social et professionnel.
Son diagnostic est confirmé par une autoévaluation, idéalement prospective, pendant au moins deux cycles symptomatiques, mettant en évidence :
- une variété de manifestations physiques et psychologiques
- la répétition des manifestations apparaissant avant les menstruations et disparaissant complètement à la survenue des règles
- la constatation d’un intervalle asymptomatique d’au moins une semaine dans la période suivant les règles
- une sévérité suffisante pour altérer le fonctionnement global.
Qui est concerné ?
Le SPM concernerait 20 à 50 % des femmes en âge de procréer. L’intensité des manifestations est très variable, mais ce qui est sûr, c’est qu’il perturbe considérablement la vie sociale, professionnelle et familiale d’un tiers d’entre elles. Il constitue même un réel handicap dans environ 5 % des cas, lorsqu’il est associé à des symptômes plus sévères, notamment psychiatriques : on parle alors de trouble dysphorique prémenstruel (TDPM), forme sévère du SPM.
Comment se manifeste-t-il ?
Le syndrome prémenstruel est défini comme un trouble récurrent de la phase lutéale. Il se caractérise sous forme d’une triade caractéristique :
- tension mammaire : les seins sont tendus, sensibles, hypervascularisés, douloureux, pouvant gêner les mouvements du bras
- tension abdomino-pelvienne : ballonnement abdominal plus ou moins prononcé, toujours gênant, souvent associé à une constipation, ou lourdeur pelvienne avec un inconfort du port des vêtements et prise de poids occasionnelle prémenstruelle
- tension psychique : les troubles neuropsychiques les plus fréquents sont l’irritabilité, la labilité de l’humeur, l’humeur dépressive, l’anxiété, l’asthénie, des troubles du sommeil et du comportement alimentaire, et des céphalées. Ces troubles affectifs s’accompagnent de modifications comportementales et intellectuelles, à tel point que l’entourage peut souvent reconnaître à leur survenue l’imminence de la menstruation.
Ces symptômes se produisent pendant les 5 jours précédant le cycle et cessent généralement après le début des menstruations.
Quelles sont les causes du SPM ?
Aussi étonnant que cela puisse paraître pour un problème qui nuit à la qualité de vie d’une grande partie de l’humanité, les causes de ce syndrome restent floues.
Plusieurs hypothèses biologiques et psychosociales ont été avancées et débattues. Le consensus actuel renvoie à une vulnérabilité aux variations hormonales du cycle menstruel.
En effet, le déséquilibre hormonal est souvent considéré comme l'une des causes sous-jacentes du syndrome prémenstruel. Pendant le cycle, les niveaux d'hormones fluctuent régulièrement. Le SPM est généralement associé à une augmentation des œstrogènes et à une diminution de la progestérone, par rapport à l'équilibre hormonal habituel. Cette fluctuation hormonale peut perturber le système de régulation de l'humeur, provoquant ainsi les symptômes du SPM
Une prédisposition génétique est également soupçonnée, tout comme d’éventuelles carences en sérotonine (une molécule impliquée dans la communication entre neurones), en magnésium et en calcium.
Que faire ? Comment traiter ?
Il est important de reconnaitre les signes du SPM pour savoir que faire et le cas échéant mettre en place un “traitement” adapté.
Le traitement principal du SPM est symptomatique. Il se concentre sur la réduction de l’impact des symptômes présents.
En tout premier lieu, il sera important d’améliorer son hygiène de vie : veiller à son sommeil, pratiquer une activité physique régulière ainsi que des activités relaxantes (le yoga par exemple), consommer moins de sucre et davantage de glucides complexes et de protéines, éviter la caféine et l’alcool.
La gestion du stress peut également contribuer à améliorer les symptômes du syndrome prémenstruel (SPM). Le stress aggrave les symptômes du SPM en perturbant l'équilibre hormonal et en amplifiant la sensibilité aux fluctuations hormonales. Celle-ci peuvent entraîner une augmentation du cortisol, l'hormone du stress, chez certaines femmes. Des études ont suggéré que les femmes atteintes du SPM peuvent présenter une réponse accrue du cortisol au stress, ce qui signifie que leurs niveaux de cortisol peuvent être plus élevés pendant cette période. Cette augmentation du cortisol peut contribuer à certains symptômes du SPM tels que l'anxiété, l'irritabilité et les troubles de l'humeur.
En adoptant des techniques de gestion du stress tels que la relaxation, la méditation, l'exercice physique régulier et la gestion du temps, vous pouvez réduire les niveaux de stress, atténuer les symptômes du SPM et favoriser un bien-être général.
En cas de syndrome prémenstruel gênant et lorsque les conseils hygiéno-diététiques ne sont pas suffisants, le médecin peut avoir recourt au traitement médicamenteux.
La vitamine B6, les progestatifs et œstroprogestatifs, les antiprostaglandines, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), les anxiolytiques voire même les inhibiteurs de la recapture de la sérotine (ISRS, antidépresseurs), peuvent être prescrits par le médecin selon les symptômes et leur intensité.
Dans tous les cas, lorsqu’on souffre de SPM ou de tout autre problème lié aux règles, il ne faut pas hésiter à en parler à son médecin : le cycle menstruel n’est pas censé être pénible. Toutes douleurs et tous symptômes doivent être rapportés, pour que les médecins puissent en rechercher la cause et vous aider.
Quelques conseils pratiques permettront également de réduire certains symptômes : la bouillotte, le massage du ventre, ne pas se recroqueviller ou prendre un bain.
L’association combinée de plusieurs éléments bénéfiques afin de réduire les symptômes se révèle être efficace.
Vous êtes sujette récente du SPM, vous avez essayé plusieurs solutions citées et rien ne semble efficace ?
Ne désespérez pas. Les laboratoires Notaka ont développé, pour vous, une solution naturelle et efficace pour lutter contre les symptômes principaux du SPM : SAFROLYS.
SAFROLYS® une solution naturelle pour vous soulager
C’est une formule exclusive spécifiquement conçue pour prendre en charge l’ensemble des désagréments causés par le SPM.
Les principaux ingrédients de SAFROLYS® ont été choisis précisément afin de garantir une efficacité maximale.
L'Achillée millefeuille : permet de soulager l’inconfort des règles, notamment les crampes du bas-ventre. Elle favorise l’élimination rénale de l’eau, évitant ainsi cette sensation d’être «gonflée».
Le Safran : démontre une remarquable efficacité dans le confort menstruel dès le premier mois d’utilisation. Son effet relaxant, favorisant le sommeil, est également très utile pendant cette période.
La Mélisse : possède deux propriétés essentielles pour le confort des règles : elle régule l’équilibre hormonal et nerveux
La vitamine B6 : favorise l’équilibre hormonal et nerveux
la Vitamine E : protège les cellules contre l’excès de radicaux libres fréquemment observé pendant les règles difficiles.