Fatigue au féminin : mythe ou réalité ?

La fatigue au féminin : une réalité prouvée scientifiquement

De nombreuses études scientifiques publiées entre 1999 et 2017 ont démontré que la fatigue féminine n’avait rien d’un mythe. L’étude BENSING 1999, portant sur 10 000 Néerlandais et Néerlandaises entre 15 et 64 ans, démontre ainsi que 37,8 % des femmes contre 24,3 % des hommes souffrent de fatigue. Un pourcentage de fatigue qui est donc supérieur de presque 50 % chez les femmes.
Une autre étude (ENGBERG), menée en 2017 auprès de 1500 personnes en Suède, démontre que le fait d’être une femme est un facteur de fatigue plus important que l’âge ou l’activité professionnelle.
En 2014, l’étude BAKKEN a mis en lumière la prévalence du Syndrome de Fatigue Chronique chez les femmes et plus particulièrement à la puberté et à la ménopause. Le facteur hormonal apparaît alors comme majoritaire dans ce trouble, même s’il n’est pas le seul responsable.

Les causes de la fatigue féminine

Si les variations hormonales sont généralement le principal facteur de fatigue chez la femme, il existe d’autres causes à explorer pour mieux comprendre.

Hormones et cycle menstruel

Les hormones qui régulent le cycle menstruel (œstrogènes et progestérones) subissent des changements considérables pendant toute la durée de celui-ci. Ces fluctuations hormonales affectent alors le système nerveux central (SNC), via des récepteurs stéroïdiens. Elles agissent également sur certains neurotransmetteurs : le GABA, le glutamate, mais aussi la sérotonine et la dopamine (hormones du bonheur).
L’étude PEREIRA 2020, synthèse de 32 études cliniques, a observé le niveau de résistance physique à la fatigue féminine en fonction des différentes phases du cycle menstruel. Elle a ainsi démontré un lien clair entre cycle et fatigue. Le métabolisme de la femme étant tourné vers l’optimisation de la reproduction, les activités physiques et intellectuelles passent souvent au second plan.

Les désagréments liés aux spécificités d’être une femme

La grossesse est l’une des principales causes de la fatigue féminine. En effet, le fœtus, pour se développer, puise ses nutriments (vitamines, Oméga 3, minéraux…) dans le sang de la mère. Ce phénomène entraîne des carences nutritionnelles, auxquelles s’ajoute le bouleversement hormonal entraîné par la grossesse, ce qui provoque une importante fatigue.
Les fluctuations hormonales atteignent un pic lors de la pré-ménopause avec la baisse de la progestérone. Puis, lors de la ménopause, c’est au tour des œstrogènes de diminuer. Cela peut entraîner certains désagréments, dont la fatigue féminine.
Une hypothyroïdie (dysfonctionnement de la glande thyroïde), même légère, peut également perturber le métabolisme énergétique. Ainsi, la fatigue est un signe fréquemment associé aux troubles de la thyroïde.
Le déficit en fer est aussi très courant chez la femme jeune, et est accentué par les saignements menstruels ou en cas de grossesse. Par ailleurs, des analyses nutritionnelles récentes ont montré que les femmes consomment seulement 60 % de leurs besoins journaliers en fer. Ce qui correspond à 8,5 mg par jour, loin de la valeur nutritionnelle de référence (VNR) de 14 mg.
Enfin, dans une société qui demande aux femmes d’être de parfaites mères de famille, femmes d’affaires et épouses, la charge mentale des femmes est particulièrement difficile à supporter. Nombre de femmes évoquent ainsi une impression d’être tout le temps fatiguées.

Ginsalia : un complément alimentaire pour lutter naturellement contre la fatigue au féminin

Ginsalia est un complément alimentaire naturel exclusivement formulé à partir de :

• Ginseng, plante anti-fatigue par excellence, qui apporte tonus, mais aussi énergie physique et psychique
• Rhodiole, plante adaptogène efficace pour lutter contre le stress et augmenter la résistance à la fatigue
• Magnésium, essentiel pour réduire la fatigue
• Fer, associé à la vitamine B2, pour combler les carences fréquentes chez la femme
• Sélénium qui contribue au bon fonctionnement de la thyroïde et du système immunitaire
• Vitamines B5 et B6 pour leur effet anti-fatigue et régulateur de l’activité hormonale